Autres marques avec des composants Ultima

Ultima fournisseur Automoto Babymoto  
Cazenave
(avec dossier)
Deronzière Follis Génial
Juery Libéria Mabec Manufrance
Marmonier M.G.D. New-Map Pagnon
(avec dossier)
Reinor Rupta Simard Soberfon
SoLyTo

  Stabylcar

Supérior Bitzas

 

Ultima fournisseur

Extrait du Guide de Graissage et Entretien Ultima (1930 environ) : 

"Ayant construit depuis 1908 plusieurs séries de moteurs de conception et alésage différents et ayant aussI livré des moteurs à plusieurs maisons (Hirondelle, Automoto, Génial, Supérior, Deronzière, etc.)..."

Ultima fabriquait l'essentiel des composants de ses motos, mais fournissait aussi d'autres fabricants, en particulier en moteurs.

 


Deronzière

Deronzière est la marque à l'origine d'Ultima, comme l'explique la rubrique Histoire de ce site. Deronzière était aussi un constructeur lyonnais. Il fabriqua des motocyclettes de qualité de 1906 à 1914, utilisant ses propres moteurs ou des moteurs de Zedel, Peugeot ou Ultima. Les Deronzière possédaient un allumage par rupture à l'intérieur de la chambre de combustion (le brevet Deronzière de 1906), et une soupape d'admission automatique, celle d'échappement étant latérale, commandée par une came. Voir Motos d'hier n°37, de mai 2001. Voir aussi la page Technique de ce site.

Une Deronzière superbement restaurée, présentée à Lyon en avril 2002.

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New-Map

Fabricant de motos, lui aussi lyonnais, de 1920 à la fin des années 50 (122-124, rue Lacassagne à Lyon). Il construisit une grande variété de modèles avec des moteurs de 98 à 998 cm3 de provenances diverses, dont Ultima. New-Map et Ultima collaborèrent jusqu'à 1939 environ, chaque entreprise fabriquant une partie des composants des deux marques : les éléments emboutis (cadres, réservoirs) chez New-Map, la mécanique (moteurs, boîtes) chez Ultima.

En 1932, New-Map présenta deux motos, les 350 BYS3 et 500 BYS5, équipées de moteurs culbutés marqués "New-Map" mais conçus chez Ultima par l'ingénieur Fargeton. Ces moteurs, dénommés "Y", étaient très proches du bloc "D" d'Ultima. Ils furent ensuite utilisés par Ultima sur ses propres machines : YB2X (350 latéral), YB5X (350 culbuté), YB4X (500 latéral) et YB6X (500 culbuté). Voir à ce sujet l'étude et la superbe restauration d'une Ultima YB6X dans l'ouvrage de Bernard Salvat, "Les motos françaises". Voir aussi Motos d'Hier n°36, d'avril 2001.

Voici ci-contre un moteur de New-Map 350 XTL3. Il s'agit là d'ume distribution latérale. On reconnaît l'air de famille des moteurs Ultima. Il semble qu'une pièce en tôle ait été ajoutée sur le côté droit du cylindre, pour cacher les queues de soupapes et leur ressort (photo de Christophe Guérin).

Moteur New-Map 350XTL3

Rencontrée au circuit du Luc (83) le 7 septembre 2003, voici la New-Map XTL3 de Jean-Luc Pontaillé

Le moteur est à soupapes latérales. Il a été monté sur les Ultima HB1 et B2X.

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New-Map (65986 octets)   New-Map (75221 octets)

Ici, une New-Map vue à Lyon en avril 2002. Il s'agit soit d'une BYS2 (350) ou d'une BYS5 (500) du début des années 30.

New-Map, SoLyTo et les voiturettes

SoLyTo

New-Map a aussi tenté l'aventure des voiturettes, ou microcars, à partir de 1945. Ce marché, qui ne décolla jamais vraiment, s'éteignit malgré l'existence de quelques voiturettes sans permis encore aujourd'hui. Même Ligier en a fabriqué. En 1947, New-Map fabrique un véhicule à trois roues, tôlé ou bâché, sous le nom de SoLyTo (de la Société Lyonnaise de Tôlerie), équipé d'un moteur de moto.

Les deux sources disponibles sur ce sujet sont le site http://gazoline.org/Pages/Histoire/newmap.html (la page n'est plus disponible) et le livre "Gnome & Rhône, l'histoire des motocyclettes". Tous deux traitent des voiturettes SoLyTo. Mais les versions divergent :

Je n'ai pas d'a priori sur la question, mais le livre Gnome et Rhône étant remarquablement documenté, je suis assez tenté de le croire.

En 1959, les fournisseurs Ultima et Ydral (dans quel ordre ?) ayant cessé de produire, il n'existe presque plus de fabricants de petits moteurs utilisables. New-Map choisit alors un moteur de bateau de la société SOTECMA. Mais ce moteur, évidemment, n'a pas de boîte de vitesse. New-Map en conçoit et en industrialise une (à variateur par courroie) dans un temps record, et répète cette performance pour un moteur complet, après la fermeture de la Sotecma, en 1961. 

SoLyTo, devenu KV entre-temps, cessera de produire ses voiturettes dans les années 80, et fermera ses portes en 1989. Les stocks de pièces pour moteurs Gnome et Rhône R4D ne seraient pas encore épuisés aujourd'hui...

SoLyTo : les voiturettes. Plusieurs modèles présentés.

Dossier SoLyTo

Au sujet de SOTECMA, on trouvait dans la Revue Technique Motocycliste de novembre 1954 une publicité pour un beau moteur de 175 cm3. Peut-être ce moteur n'était-il plus disponible en 1959 quand SoLyTo en a eu besoin ? Extraits :

Service commercial : 31, rue de Stalingrad, Le Pré Saint Gervais

Usine : 67, rue Lamartine, Drancy (Seine)

" Les couleurs françaises ont été brillamment représentées à LA COUPE DU SALON par le moteur SOTECMA 175 cm3. Piloté avec une habileté consommée par l'excellent coureur BEAUVAIS, le 175 SOTECMA est arrivé 3e et SEUL MOTEUR FRANÇAIS, toutes catégories.

Alimenté en SUPERCARBURANT DU COMMERCE, (le même pour tous les concurrents) le 175 SOTECMA, accélérant régulièrement et irrésistiblement, a accompli le parcours à la vitesse moyenne de 106 kmh., 105, avec des pointes à 136 kmh... " (sic)

Moteur Sotecma

Sotecma a déposé son bilan brutalement, huit jours avant le Bol d'Or 1961, pour lequel tout avait été préparé.

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Cazenave

Cazenave ("la marque française de qualité internationale ", sic) a fabriqué des cyclomoteurs et des motos entre 1955 et 1957. Elle était installée à Belin (Gironde). 

Un important dossier est connsacré à cette marque du sud-ouest.


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Follis

Follis (10 et 16, rue Danton à Lyon) produisit des vélos, puis des motos à partir de 1903. Follis utilisa des moteurs de provenances diverses, dont Ultima et Ydral.

"La firme Ultima avait la particularité de fabriquer elle même tous les composants de ses modèles sans faire appel à des sous-traitants. Elle vendait même des éléments à d'autres marques (moteurs, boîtes). Les boîtes Ultima étaient très recherchées, dans l'immédiat après guerre, par les préparateurs de petites cylindrées de compétition. Le pilote ingénieur d'Ydral, Georges Agache, a équipé sa GD3V à distributeur rotatif d'une boîte Ultima." (informations de Pierre Astier). Voir le site du club YDRAL : www.club-ydral.net, où plusieurs Follis sont présentées.

Insigne Follis redessiné à partir d'un original en tôle d'aluminium formée en calotte sphérique et imprimée. Diamètre réel : 83 mm. Insigne Follis (clic = plus grand)

Voici une Follis équipée d'un moteur Ultima 200 cm3 (Moto-Revue N°1135 du 5/5/1953).

Une Follis à moteur YDRAL de 1954. Ce moteur est un L54, bitube de 175 cm3, transition entre le L49 et le AJ55 (modèle rare). 
(collection et photo JP Corbier).
Click = plus grand (64162 octets)

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Reinor

Manufacture moderne d'armes et de cycles, 268-270, cours  Jean-Jaurès, Lyon. Cette marque commercialise des Deronzière et des Ultima sous son nom, sans doute jusqu'en 1914. 

De la même façon, bien d'autres petites marques livrent des Deronzière et des Ultima sous leur nom : Impérator, Blanche-Hermine, Pannetton, Zénith, Sosthénia, Pyrène, Running, Génial, Gallia, Prester, R.P.F. (Rivolier Père et Fils). Cette liste est donnée dans une très belle étude sur les Deronzière, parue dans Le Motocyclettiste n°81 de janvier 1999.

 


Juery

Ce constructeur français produisit entre 1931 et 1939 des triporteurs à moteur Ultima, mais aussi des motos avec des moteurs Chaise latéraux et culbutés, de 346 et 498 cm3. Il utilisa aussi ses propres moteurs. Aucune autre information n'est disponible sur cette marque.

 

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Libéria

1934 : Les Ets Libéria acquièrent leur premier moteur Ultima en novembre 1933 ; ainsi des vélomoteurs sont proposés soit à moteur Ultima, soit à moteur Aubier-Dunne de 100 à 250 cm3 pour les motocyclettes. Les moteurs JAP sont abandonnés. (extrait de l'histoire des motos Libéria sur le site du club YDRAL France www.club-ydral.net, par Pierre Astier et Didier Mahistre).

 


Marmonier

Les établissements Victor Marmonier étaient installés à Lyon et fabriquaient des motoculteurs qu'ils commercialisaient sous leur marque. Ils en ont fait aussi pour Soberfon.

Voici un beau tracteur équipé d'un moteur Ultima de 500 cm3, dont la forme fait penser qu'il s'agit d'un type D, avec arbre de transmission. Photos envoyées par Fabrice Plançon, qui nous propose de visiter ce site superbe, consacré aux machines agricoles :http://www.framaa.fr/

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Manufrance

La Manufacture d'Armes et de Cycles de Saint-Etienne, dont la marque était "Manufrance", fut en son temps une des toutes premières entreprises de vente par correspondance dans le monde. Elle possédait un énorme catalogue, dans lequel les articles de pêche et de chasse côtoyaient les meubles, les vêtements, les articles de cuisine, les jouets et bien d'autres choses. Manufrance disparut vers 1975. Dans le fameux catalogue, il y avait des bicyclettes, et des deux roues à moteur vendus sous la marque Hirondelle. Le modèle 125 B était équipé en 1947 d'un moteur Ultima avec boîte à quatre vitesses séparée.

Injustement méconnues, car les journaux spécialisés ne parlaient pas de ces engins vendus par correspondance, les Hirondelle furent pourtant très répandues. Ce modèle, l'un des premiers sortis après la guerre, offrait quatre vitesses par sélecteur.

(informations et photo de François-Marie Dumas)

Une autre Hirondelle de Manufrance, mais celle-ci est un type 94, de 1958, à moteur YDRAL.

(Photo JP Corbier)

Clic = plus grand (71801 octets)

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M.G.D.

La marque M.G.D. aurait utilisé des moteurs Ultima. Cette marque confidentielle nous est dévoilée par François-Marie Dumas. Mais il indique lui-même qu'il s'agit " d'un mouton à cinq pattes ". Pas d'autre information pour l'instant.

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Pagnon

Armand Pagnon créa en 1955 un scooter tout à fait original, équipé d'un moteur Ultima 125 cm3. Ce prototype est exposé au Musée de l'auto, de la moto et du Vélo de Châtellerault. Contrairement à ce que la lecture du site Internet du musée pourrait faire croire, c'est bien la roue avant du scooter qui en assure la direction, et non la roue arrière. Le moteur Ultima utilisé est un moteur deux-temps horizontal à boîte séparé, très antérieur à 1955. Voir le dossier consacré au scooter Pagnon.

Le prototype Pagnon du musée de Châtellerault ( photo empruntée au site du musée )

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Babymoto

Babymoto, dont l'existence nous est dévoilée par le site http://lesmotocyclettes.free.fr/scooter, aujourd'hui disparu, aurait produit en 1952/53 un engin équipé d'un moteur Ultima, deux-temps, de 125 cm3, avec une boîte séparée à 4 vitesses. Le fabricant était les établissements Roger Breton, 11, rue de l'Egalerie, Saint-Etienne (Loire).

En fait, Roland de Brebisson a rencontré, en mars 2009, Roger Breton, qui lui a certifié qu'il n'avait jamais monté de véhicule à moteur Ultima. Il a également déclaré que de toute manière, si on lui avait envoyé un moteur en échantillon il "l'aurait renvoyé chez New Map, plus apte à les monter". Il n'a par ailleurs jamais construit de cadre avec réservoir en selle : "pas pratique, ni possible pour les femmes". Roger Breton semble digne de confiance, du haut de ses 93 ans !

Aucune autre information n'est disponible sur cette marque.

 


SOBERFON

Soberfon était un fabriquant lyonnais de motoculteurs, installé au 31, rue Raoul Servant, à Lyon. C'est du moins ce qu'indique la plaque portée par l'engin retrouvé par Jean-Louis au cours d'une promenade dominicale dans la campagne varoise. Soberfon a utilisé des moteurs Ultima, des 4-temps à soupapes latérales, modifiés pour cet usage particulier. Le fait que la boîte des moteurs Ultima était séparée a facilité la transformation.

Un petit dossier, avec de belles photos.

Click = le dossier

Une autre trouvaille, de Christian Baudot, dans le Puy-de-Dôme.

Un moteur de 500 cm3 anime ce motoculteur. D'autres informations dans le dossier Soberfon.

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MABEC

MABEC était un fabriquant de motoculteurs, dont le siège social était à Neuilly sur Seine (27, rue d'orléans). La fabrication se faisait à Charleville-Mèzières dans les usines Clément Bayard. Le nom MABEC était formé à partir des intiales de Matériel Agricole Bayard Et Clément (informations de Richard Haze).

MABEC a utilisé des moteurs Ultima, comme le montrent ces photos dues à Jean-Louis Chauvin. Le moteur ici utilisé est un deux-temps de 125cm3, le même que celui utilisé sur les motos V4-2, mais sans la boîte de vitesse, qui était séparée.

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Rupta

Voici une Rupta 2 HP présentée au musée de Savigny Les Beaune, en Côte d'Or (voir à la page Musées). Le nom de Rupta vient probablement du système d'allumage par rupteur interne breveté par Deronzière et utilisé par quelques marques. La RUPTA était fabriquée par la Manufacture d'Armes et de Cycles de Saint-Etienne (Manufrance). C'était une Deronzière, qui donna ensuite naissance à l'Ultima Type A..

Des informations techniques sur la Rupta 2 HP ainsi que la notice complète de cette machine sont visibles ici.

rupta 1.jpg (20266 octets) Cette Rupta 2 HP est dans son jus. Elle est fatiguée, mais on reconnait bien le moteur à ailettage horizontal.
rupta 2.jpg (52981 octets) rupta 3.jpg (54037 octets)

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Bitzas

Une Bitza est une moto construite à partir d'éléments divers, par des amateurs ou par des professionnels. La plupart ne sont que des exercices ponctuels, mais certaines restent célèbres : la Triton (un moteur de Triumph dans un cadre Featherbed de Norton) ou bien la Tribsa, associant le même moteur à un cadre de BSA B31.

Voici ici une Morris Spécial, présentée en avril 2001 à l'exposition des motos à moteur YDRAL de Carpentras. Cette moto a été préparée par Maurice Boeuf, d'Avignon. Elle associe un cadre de D45 surbaissé et un moteur de Mobyscooter avec une boîte Ultima.

Morris spécial

Un peu d'histoire, par Pierre Astier : dans l'immédiat après-guerre, dans le Sud-Est et surtout dans le Vaucluse étaient organisées une multitude de courses de motos réservées aux 100 et 125 cm3. Chaque village ou presque avait son "Grand Prix" (d'aucuns appelaient cela " les circuits de pissotière " !). Ce qui a donné lieu à la création de pittoresques bitzas, le plus souvent à base de 100 Motobécane ou Monet Goyon plus ou moins gonflées et bricolées par les Nougier, Ménard, Berlie, Gache, etc. Et en général, on remplaçait la boîte 3 d'origine par une boîte Ultima à 4 vitesses. Ne rions pas : certaines de ces petites 100 cm3 dépassaient les 100 km/h.

Note : ces petites bitzas de courses des années 50 étaient équipées de boîtes séparées. Le seul problème pour adapter la boîte Ultima, très compacte, était la fixation sur le cadre et l'alignement de la chaîne primaire.

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Stabylcar

Le Stabylcar a été créé en 1947 dans la région de Saint Amand-Montrond (Cher) par Alfred Marcel THIOLAT (le financier) et Georges LEMARECHAL (le concepteur). Il était équipé d'une boite Ultima et d'un moteur PAUVER. Voir le site http://stabilcar.over-blog.com/, où de nombreuses photos permettent de découvrir un engin étonnant.

Photo de Roland de Brebisson. Mars 2009.


Supérior

Supérior, dont le nom n'apparaît pas dans les encyclopédies de la moto (celles de Erwin Tragatsch et celle de Hugo Wilson), a produit des motocyclettes. Le fabricant était la société "Thimonier et Cie", qui produisait aussi des machines à coudre à Lyon. 

En page "Technique", des détails sur l'allumage à rupteur interne utilisé par Superior. 

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Simard

Simard (France) 1951-1954 : scooters ressemblant aux Lambretta, avec des moteurs Ydral de 174 cm3 . Voilà ce que dit de la marque Simard l'encyclopédie mondiale illustrée de la moto. 

Simard était un constructeur lyonnais (encore un) de side-cars. En 1952, Simard fit étudier par Henri Lannoy, ingénieur créateur d'autres deux-roues très originaux, un scooter. Celui-ci, équipé d'un moteur Ultima de 125 cm3 s'appelait le LSL1. Il était articulé au milieu et son réservoir était dans le tablier avant. Ce scooter sera ensuite monté avec un moteur YDRAL 125 ou un Ultima F12. 

La photo ci-contre montre un des derniers Simard survivants, celui-ci équipé d'un moteur YDRAL.

Infos et photo de Jean-Do Jacquesson et Pierre Astier. Voir aussi le site www.club-ydral.net.

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12/02/2019